Kaboul Disco T2: Comment je ne suis pas devenu opiomane en Afghanistan:
Après de brèves vacances passées dans son Alsace natale, Nicolas est de retour en Afghanistan, pour un nouveau contrat à l’agence de communication Zendagui. La Constitution Afghane désormais illustrée en bande dessinée (voir tome 1), Nicolas doit œuvrer à une campagne de communication pour lutter contre l’opium. Le slogan à illustrer, particulièrement original, est : « L’Opium, c’est mal »…Devenu … mehrseul auteur de BD (son collègue est parti) d’un pays auquel il s’attache de plus en plus, Nicolas continue de mener sa drôle d’existence d’expatrié dans un Kaboul moins pacifié qu’on ne pourrait l’espérer.Un regard de faux naïf, ironique et pertinent sur les réalités d’un pays, dont l’instabilité va croître au fur et à mesure du récit. Un récit de voyage qui allie sérieux du contenu et légèreté du ton. Comment je ne suis pas devenu opiomane en Afghanistan, le second tome de Kaboul Disco, permet de resituer et d’appréhender les évolutions récentes ― et inquiétantes ― de la situation politique et sociale du pays. Le tome 1 a été nominé pour le prix de l’Association des Critiques de Bande Dessinée (ACBD) et pour le prix France Info de la BD d’actualité.« Sans aucun cliché, avec l’humour et le recul de ceux qui connaissent leur sujet, l’auteur nous plonge, au travers d’un canevas d’anecdotes et de rencontres, dans l’évolution d’un peuple en proie à un carrefour de sa propre civilisation. (Quelle: Amazon) weniger